C’est un « jeune cinéaste au regard affûté », dont « les libertés idéologiques et formelles font de lui l’un des auteurs iraniens les plus influents de sa génération ». Mais Keywan Karimi purge une peine d’un an de prison, en attendant les 223 coups de fouet qui lui ont été promis. En cause, ce film, « Writing on the city« , dans lequel les murs de Téhéran deviennent « le thermomètre social et politique de la société iranienne ». Projection exceptionnelle ce mercredi 1er mars à Paris, où vous aurez également l’occasion de vous procurer en avant-première le DVD du film édité par Blaq Out.

Karimi

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